Renaissance d'un calvaire
09 juin 2025
Un émouvant AVANT / APRÈS qui met en lumière la renaissance du calvaire séculaire, érigé route de Lauterbach, qu'on devinait à peine, enraciné dans les entrelacs herbus et l'opacité des branchages.
On ne présente plus Thierry Borowski, spécialiste des restaurations d'ouvrages religieux et coutumier des sauvetages de statues, santons, angelots, bas-reliefs et autres objets sacrés qui sont la proie des assauts du climat, de l'érosion et de la pollution.
Après le transfert du calvaire jusqu'à son atelier, il lui aura fallu plusieurs heures de décapage, réparation, fixation de la croix, ponçage, puis remise en peinture, pour aboutir à cette formidable restauration qui redonne à l'édifice un indéniable cachet.
Si les calvaires puisent leur origine dans le berceau chrétien médiéval, servant à la fois de lieux de prière et d'étape spirituelle pour les fidèles, ils sont aujourd'hui encore le témoignage d'un passé empreint de croyances et s'inscrivent dans le patrimoine local et national.
Consulté pour connaître la source de ce calvaire édifié route de Lauterbach, à un jet de la frontière allemande, Pierre Reinert, président du Cercle d'Histoire Locale, indique que les habitants de Lauterbach étaient rattachés à la paroisse de Creutzwald de 1717 à 1857. Et que le chemin de Lauterbach à Creutzwald jusqu'à l'église du Centre est encore bordé de plusieurs de ces monuments bibliques.
Un grand merci à Monsieur Borowski pour la qualité de cette très belle réalisation, symbole de foi et de préservation d'un passé culturel.
On ne présente plus Thierry Borowski, spécialiste des restaurations d'ouvrages religieux et coutumier des sauvetages de statues, santons, angelots, bas-reliefs et autres objets sacrés qui sont la proie des assauts du climat, de l'érosion et de la pollution.
Après le transfert du calvaire jusqu'à son atelier, il lui aura fallu plusieurs heures de décapage, réparation, fixation de la croix, ponçage, puis remise en peinture, pour aboutir à cette formidable restauration qui redonne à l'édifice un indéniable cachet.
Si les calvaires puisent leur origine dans le berceau chrétien médiéval, servant à la fois de lieux de prière et d'étape spirituelle pour les fidèles, ils sont aujourd'hui encore le témoignage d'un passé empreint de croyances et s'inscrivent dans le patrimoine local et national.
Consulté pour connaître la source de ce calvaire édifié route de Lauterbach, à un jet de la frontière allemande, Pierre Reinert, président du Cercle d'Histoire Locale, indique que les habitants de Lauterbach étaient rattachés à la paroisse de Creutzwald de 1717 à 1857. Et que le chemin de Lauterbach à Creutzwald jusqu'à l'église du Centre est encore bordé de plusieurs de ces monuments bibliques.
Un grand merci à Monsieur Borowski pour la qualité de cette très belle réalisation, symbole de foi et de préservation d'un passé culturel.